Après deux précédentes journées nationales en catimini pour cause de Covid, et au lendemain de la réélection d’Emmanuel Macron, le rendez-vous mémoriel du 10 mai, journée nationale de commémoration de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions, mardi à Paris, a pris des allures de carrefour politique avant les législatives.
Une commémoration pour faire oublier le vote de la présidentielle

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